Mon Maître a les clés de chez moi

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il y a 8 ans

Il a le double des clés de mon appartement - puisqu'il veut être mon Maître, c'était naturel qu'il obtienne un sésame inconditionnel à son esclave. Nous n'avons pas de rendez-vous à l'avance ou de conventions. Il me dit par sms "je passe", alors je sais que je dois l'attendre derrière la porte, nu et en collier de chien, prêt à lui embrasser la queue derrière son pantalon, puis ses chaussures.

S'il passe à l'heure du dîner, je dois lui préparer un plateau repas avec une bière. Pendant qu'il mange mon Maître veut me voir à quatre pattes le cul tendu vers lui, bien que je sois à l'autre bout de la pièce. S'il a besoin de quoi que ce soit il me siffle et j'obéis. S'il y a des restes de nourriture, le Maître me les donner à manger à ses pieds dans une écuelle.

Notre relation domi/soumis avance au fur et à mesure des trips qu'il veut expérimenter - et justement récemment il s'est servi des clés de mon appartement de manière inattendue.

Il était presque une heure du matin lorsque j'ai entendu quelqu'un ouvrir ma porte. J'étais à poil dans mon lit à mater du porno sur internet et on peut dire que ça m'a fait sursauter ! La porte s'était à peine refermée que j'ai entendu une voix appeler "esclave, aux pieds". Je me suis précipité aux pieds du Maître le souffle court, encore tremblant de surprise. Quelle frayeur !

Selon notre rituel, j'embrassais les chaussures du Maître. C'est alors qu'il me dit "je vais dormir ici cette nuit, et toi tu seras à mes pieds". Selon notre contrat, ses désirs étaient des ordres - alors j'ai murmuré un timide "merci Maître" comme tout acquiescement.

Pour m'avoir vu les ranger souvent, le Maître trouva sans problème mon sac de jouets avec ma laisse, mon bâillon, de la corde et divers accessoires. Il me mit la laisse et me traîna à quatre pattes jusqu'au lit. Là il m'attacha les mains au sommier, ainsi que mes couilles pour être certain que je ne bouge pas. Il me mit le bâillon sur la bouche et un masque de nuit. Je ne pouvais plus dire quoi que ce soit, voir quoi que ce soit et il m'était impossible de me lever.

Le Maître se coucha dans mon lit et je l'entendis rire "Alors c'est sur ça que tu te branles quand je ne suis pas là ? Il va falloir que je te mette une {cage de chasteté](https://abcplaisir.com/22-chastete) pour que tu me sois dévoué pendant mon absence". Voilà une perspective particulièrement intéressante ! Ce Maître n'était pas mon premier dominateur, mais avec lui j'avais envie d'aller un peu plus loin que les autres dans l'appartenance. Et la cage de chasteté c'est juste l'outil parfait pour bien se sentir slave.

Depuis quelques minutes je sentais bien que mon Maître se branlait et ce qui arriva ne m'étonna donc pas : alors qu'il était sur le point de jouir, il me retira le bâillon pour m'enfoncer son gland dans la bouche et me gicler son foutre en fond de gorge. "Biberonne moi ça ma pute". Plus il était directif, plus je prenais mon pied - j'ai donc avalé son jus minutieusement et j'ai sucer son gland pour ne pas en perdre la moindre goutte. Une fois vidé, le Maître me remis le bâillon sur la bouche. "Aller, bonne nuit esclave - ah j'oubliais ..." le Maître se leva pour aller chercher quelque chose dans le sac à jouets. Sans doute un poppers me disais-je.

La douleur fut fulgurante : je venais de me faire empaler par un gode, bien que lubrifié, qui faisait pas loin de 20cm. J'hurlais derrière mon bâillon quand le Maître me dit "ça va te faire le cul pendant la nuit, profite bien". La brûlure lançait et petit à petit la présence de ce gode dans mon trou me procurait un plaisir paradoxale. A la fois douloureux et excitant, particulièrement humiliant. Je pensais alors que ma nuit allait être relativement courte et que j'allais m'assoupir jusqu'au réveil du Maître un peu plus tard dans la matinée. C'était sans compter sur le sadisme du Maître - je ne devais pas rester une nuit attaché comme ça au lit, mais le week-end entier. Je le compris lorsqu'au matin, le Maître m'enleva le bâillon pour m'enfourner sa bite molle dans la bouche, me donnant l'ordre d'avaler sa pisse. Une fois qu'il eut terminé, il me laissa attaché au pied du lit, toujours godé et bâillonné, les yeux caché par un masque.

"Je vais me faire un petit-déjeuner de champion ce matin - toi tu as intérêt à bien profiter de la moindre goutte de protéine que tu vas avaler, parce que ce week-end tu ne seras nourris qu'à la queue."

Edward72

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